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Autolaveuses, balayeuses : les reines du parquet

23 octobre 2019
La conquête d’un revêtement exempt de salissures diverses passe inévitablement par l’usage régulier de balayeuses et d’autolaveuses professionnelles. De toute évidence, si la fréquence est une question de stratégie, le matériel, lui, est une question d’investissement. Et inutile de rappeler que du bon matériel fait du bon travail… et des économies à moyen et long termes. Comment bien utiliser une balayeuse ou une autolaveuse ? A quelle fréquence ? Sont-elles vraiment économiques ?
La conquête d’un revêtement exempt de salissures diverses passe inévitablement par l’usage régulier de balayeuses et d’autolaveuses. De toute évidence, si la fréquence est une question de stratégie, le matériel, lui, est une question d’investissement. Et inutile de rappeler que du bon matériel fait du bon travail… et des économies à moyen et long termes. Comment bien utiliser une balayeuse ou une autolaveuse ? A quelle fréquence ? Sont-elles vraiment économiques ? 
 

Le rôle d’une balayeuse et d’une autolaveuse

Pour rappel ou pour les novices, une balayeuse ramasse les déchets grâce la rotation d’un balai cylindrique souple en contact avec le sol, et capture la poussière non adhérente sur un filtre au moyen d’une turbine. Généralement, les balayeuses sont aspirantes et combinent balayage et aspiration, l’aspiration est là pour contrôler la poussière et éviter qu’elle ne s’échappe de la machine ; c’est un véritable balayage sous dépression. De son côté, l’autolaveuse enlève les pellicules adhérentes par dilution en phase humide. C’est la combinaison de l’action mécanique (brosse ou disque), de l’eau renforcée d’un détergent adapté, de l’aspiration simultanée des eaux usées qui rend la surface propre et directement praticable. Notons qu’il existe aussi des ‘combi’, capables de balayer et de laver en un seul passage. 
 

L’influence du revêtement 

Entre un sol souple et une résine anti-dérapante, en passant par les sols carrelés des vestiaires, il est évident que certains revêtements sont plus faciles à entretenir que d’autres. Le type de sol, mais aussi la surface à traiter, vont donc déterminer la méthode et les moyens à mettre en œuvre pour nettoyer un sol sportif. Il est essentiel d’entretenir ces surfaces très techniques sans en altérer leurs caractéristiques : La capacité d’absorption des chocs pour limiter les traumatismes, la glissance contrôlée, la performance dynamique et sa résistance.
Concernant les autolaveuses, plusieurs disques sont utilisés en fonction du type de sol. La dureté de la brosse est exprimée à travers un code couleurs. Rouge, pour des disques moyennement durs et qui correspondent à 80 % des sols sportifs indoor. Blanc, pour les sols fragiles. Noir, pour les sols durs, type surface de vestiaire. Et vert (entre le rouge et le noir).
La qualité et la formulation du détergent sont tout autant déterminantes. Par exemple, les détergents alcalins sont recommandés pour les sols en PVC. Des produits spéciaux ‘résine’, type terrain de handball, existent également. 
Par ailleurs, la souplesse de certains sols freine aussi le roulage des machines. Cela nécessite une vraie traction par des roues avec différentiel, sans quoi vous risquez de vous épuiser et de marquer le sol dans les virages. Les roues et le bandage sont l’élément en contact avec le sol avec une charge souvent élevée au cm².
 

La fréquence d’intervention

D’une manière générale, il n’y a pas de règle, c’est l’état du sol qui impose les fréquences. En effet, les surfaces sont durement sollicitées par l’activité, des passages d’entretien réguliers sont donc conseillés, cela évite les remises en état plus lourdes et conserve l’hygiène et la sécurité des pratiquants. D’autant plus que la durabilité des sols est fortement impactée par l’abrasion des salissures que l’on rencontre régulièrement sur ces surfaces.
 


Des machines économiques ?

L’attente principale des collectivités est certes l’efficacité du nettoyage, mais en utilisant le moins d’énergie possible, c’est-à-dire moins d’eau et de détergent. « Le coût des consommables pour une laveuse est inférieur à 7 % du prix de la machine (eau, détergeant, lèvres des suceurs, brosse…). Sur la plupart des autolaveuses, la quantité d’eau utilisée est réglable. Concernant les produits d’entretien, il faut savoir qu'il est inutile d'utiliser trop de détergent et trop d'eau. Il faut obtenir le bon dosage et surtout utiliser le détergent qui convient à la bonne situation. Ne pas dépasser 5 % de détergent dans l’eau propre, 1 % est suffisant.
Fonctionnant à batterie (plomb, lithium…), à essence, pour certaines avec un fil, les balayeuses et autolaveuses permettent de nettoyer une surface avec un coût d’exploitation moindre. 
 
Retrouvez  tous les produits pour les terrains de sports dans la rubrique Terrains de Sports.
 
Crédit photo : Nilfisk

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